J’ouvre ma conscience grâce au journal de l’intuition

J’ouvre ma conscience grâce au journal de l’intuition

  • Écrit par Josée Moglia
  • Publié le 11 février 2017

Nous sommes en quête de sens car nous sommes déconnectés de notre voix intérieure, à laquelle nous ne donnons pas souvent le moyen de s’exprimer. Pour trouver quelles sont les qualités que nous devons laisser s’épanouir dans cette vie, pour accéder à notre but ultime, regardons les défis qui se présentent à nous de façon récurrente. Deux voix s’élèvent alors, en quelque sorte l’adulte et l’enfant en nous: l’une d’elle très conservatrice, opposée aux changements, l’autre spontanée, aimante, jouant avec la liberté et le mouvement. Ces deux parties ont besoin de s’exprimer. Par l’écriture, nous pouvons les laisser dialoguer entre elles.

L’écriture créative

Écrire son journal intime, y jeter tous nos ressentiments, nos espoirs, nos victoires, l’illustrer de dessins qui parfois en disent plus que des mots, certains d’entre nous l’ont expérimenté à un moment ou à un autre de leur vie. Cela fait du bien, apaise, met de l’ordre dans nos idées.

Cette pratique favorise la connexion et l’écoute de l’être. C’est une forme de méditation : on débranche de l’avoir et du faire pour se rebrancher à notre être, à notre nature profonde. Comme le souligne le psychologue John Bradshaw (« Retrouver l’enfant en soi » éd. l’Homme):

« La nature n’a jamais voulu que nous devenions ces adultes solennels, hyperactifs et aux émotions réprimées, un état que nous décrivons malheureusement comme la maturité ».

En donnant la parole à la voix de l’enfant, nous laissons s’exprimer cette partie de nous. Et ces deux voix intérieures permettent, en dialoguant, à notre être supérieur de s’épanouir. Par l’écriture, qui déjà pour Saint Augustin au 4ème siècle était une écoute de son Maître intérieur et un remède pour son âme, nous pouvons accéder à la communion intime de ces différents aspects de notre être. C’est un des buts ultimes dans notre cycle d’évolution. D’autres techniques créatives comme le dessin, la peinture, le collage peuvent enrichir ce journal intime.

Comme toute pratique, si vous voulez des résultats, vous devez vous entraîner régulièrement. Et comme en musculation, le résultat n’est jamais acquis.

Comme disait Nicolas Boileau : « Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage ! ».

Se reconnecter à soi-même n’est un but à atteindre, c’est une pratique, un chemin. Faire de votre journal créatif une pratique quotidienne, pourra vous reconnecter à votre enfant intérieur et vous aider à trouver des réponses à vos questionnements.

♥ La prise d’élixirs floraux peut vous aider dans cette démarche :

Si le docteur Bach a posé les fondations de ce système de santé que nous nommons à présent la florithérapie, de nouveaux élixirs floraux seront proposés au début des années 80, les élixirs floraux contemporains. L’élixir d’IRIS en fait partie. Inspiration, créativité et art sont les principaux champs d’action de cet élixir. Il développe la capacité à se relier à son moi supérieur, stimule l’inconscient, et permet donc de débloquer nos capacités créatrices.

Où les trouver ? Par exemple, dans un laboratoire français situé au cœur du parc naturel du Vercors qui fabrique les élixirs selon la méthode originelle du docteur Bach, le laboratoire Deva Les Émotions.

http://www.deva-lesemotions.com/elixirs-floraux-deva/iris

Quelques ouvrages sur le sujet :

  • Libérez votre créativité – Un livre culte ! De Julia Cameron
  • Le nouveau journal créatif: À la rencontre de soi par l’écriture, le dessin et le collage. D’Anne-Marie Jobin
  • Les élixirs floraux européens De Philippe Deroide

Photo de Sixteen Miles Out sur Unsplash